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Rencontre avec les associations
L'équipe de la liste «Ensemble contruisons Brax de demain» a rencontré en ce 8 octobre les associations du village. /R. Lille
Après avoir rencontré,fin juillet, les artisans, commerçants et les professions libérales, en cette soirée du 8 octobre, ce sont les associations que l’équipe qui forme la liste «Ensemble construisons Brax de demain» rencontrait. Joël Ponsolle, la tête de liste, nous expliquait la démarche de son équipe : «Nous voulons présenter notre projet et écouter les attentes des Braxois. Après les commerçants et artisans, en ce 8 octobre, ce sont les associations que nous recevons : échanger écouter et expliquer; tel est notre souci», nous confiait Joël Ponsolle. «Nous faisons aussi des propositions continuait-il en présentant notre projet. Notre liste est issue de personnes de toutes convictions politiques, et aussi de la société civile : actifs, retraités et représentant de toutes tranches d’âges. Cela fait maintenant plus d’un an que nous travaillons pour donner à Brax un projet à la hauteur de son potentiel. Nous avons réfléchi sur un projet municipal et d’agglomération agenaise, la aussi nous souhaitons travailler en concertation.Notre démarche n’est pas l’opposition systématique, mais nous souhaitons valoriser notre commune avec une maîtrise de la fiscalité, dynamiser et créer un lien avec tous les Braxois (assos, commerçants, particuliers ). Notre mode de gouvernance se veut un projet collectif avec un maximum de lien avec la population : impliquer, informer et écouter sera toujours notre souci majeur» concluait Joël Ponsolle. «La réunion de ce jour faisait partie d’un calendrier programmé. D’autres réunions suivrons où nous serons toujours à l’écoute des Braxois’ résumait la tête de liste de l’équipe.
Le redécoupage cantonal
Publié le 25/09/2013 à 06h00 | Mise à jour : 25/09/2013 à 16h26
Par maryan charruau
Lot-et-Garonne : le département va passer de 40 à 21 cantons en 2015
INFOGRAPHIE Hier, la première version de la carte de ce qui devrait être le nouveau découpage cantonal a été révélée. Président du Département, Pierre Camani assure du respect des grands équilibres. Pas l’opposition
Mars 2015, la parité sera respectée au sein de l’Hémicycle avec 21 femmes et 21 hommes. (photo archives émilie drouinaud)
Le redécoupage cantonal ne prendra effet qu’au lendemain des élections de mars 2015. Le Lot-et-Garonne passera alors de 40 à 20 cantons et de 40 conseillers généraux à 42 conseillers départementaux. Actuellement, la majorité de gauche compte 25 élus et l’opposition de droite 15. Sept femmes (1) pour 33 hommes. En mars 2015, il y aura 21 femmes et 21 hommes (deux élus du même bord par canton). Au niveau national, elles sont actuellement 13,5 % d’élues… alors que la population française est constituée à 51 % de femmes. « Je suis satisfait que la parité soit enfin respectée », relève à ce titre Pierre Camani.
Le sénateur et président du Conseil général rappelle que « cette nouvelle situation résulte de l’évolution de la loi. Nicolas Sarkozy avait institué le conseiller territorial (loi du 16 décembre 2011). Les 27 élus, et non plus 40, auraient siégé au Conseil général et au Conseil régional. La nouvelle loi (17 mai 2017) a créé le conseiller départemental synonyme de proximité avec les habitants ».
"Nous allons devoir affiner notre analyse. A chaud, on peut d'ores et déjà dire que ce nouveau découpage ne sert pas les intérêts des territoires mais les intérêts politiques", affirme Michel Delapeyrière, au nom du groupe de l'opposition départementale. Son chef de file, Alain Merly, est en Irlande. "Les établissements publics de coopération intercommunale (communautés de communes) que nous avons mis du temps à construire n'ont pas été pris en compte. Vont-ils exploser ? Nos craintes se sont confirmées. Plusieurs regroupements, à l'exemple de l'Albret autour de Francescas, dans les Landes de Gascogne, sont faits à dessein pour servir la gauche", poursuit Michel Delapeyrière. "Nos propositions n'ont pas été retenues", faisait remarquer, hier soir, le groupe UMP.
Analyse à la loupe
Son analyse du découpage ? « La proposition me paraît équilibrée. Sur 21 cantons, 13 ont une configuration totalement rurale. Il n’y a pas de cantons avec un trop grand nombre de communes. » Il sourit d’avance aux commentaires qui, inévitablement, évoqueront un « charcutage ». Il souligne que « c’est le ministère de l’Intérieur qui a réalisé cette première mouture après consultation auprès des grands élus, des responsables des agglos… »
« Que l’on ne me dise pas que je suis favorisé. Le canton de Seyches, dont je suis l’élu, ne fait plus qu’un avec celui de Duras », commente le socialiste Pierre Camani. Un canton historiquement de droite avec à sa tête l’UMP Bernadette Dreux, maire de Duras. Joli duel Camani-Dreux.
Hier, chaque camp politique a regardé à la loupe ce découpage, et donc les regroupements engendrés par les fusions de canton, les extensions, les disparitions voire les éclatements (Prayssas, Le Mas-d’Agenais, Laroque-Timbaut…)
D’abord les municipales
Sans être grand clerc, la gauche paraît « favorisée » sur Marmande 1 et 2, Layrac, Monflanquin, Miramont-de-Guyenne, Nérac… La droite devrait confirmer ses positions à Tonneins, Lavardac, Fumel, Aiguillon.
De belles batailles s’annoncent notamment sur Casteljaloux, Colayrac-Saint-Cirq. Il faudra se pencher très en détail sur Agen, voire à la rue près pour le centre-ville. Il ne faut surtout pas oublier qu’un an avant les élections cantonales, se dérouleront, en mars 2014, les municipales. Soit autant de cartes qui peuvent être rebattues. Et au final, ce sont les électeurs qui décideront.
(1) Bernadette Dreux (Duras), Marie-Christine Kidger (Cancon), Michèle Lafoz (Fumel), Claire Pasut (Sainte-Livrade), Catherine Pitous (Agen Nord-Est), Régine Povéda (Meilhan-sur-Garonne), et Marie-Françoise Salles (Beauville).
A noter : lundi 7 octobre, un session extraordinaire à l'Hôtel Saint-Jacques sera consacrée au découpage cantonal. Les élus donneront un avis. Le ministère de l'Intérieur tranchera au plus tard en mars 2014. La carte actuelle n'est pas définitive
Sortir la commune d’une certaine inertie
Publié le 20/09/2013 à 06h00 Par valérie deymes
La liste « Ensemble construisons Brax de demain », menée par Joël Ponsolle, est déjà à pied d’œuvre pour mars 2014.
Les dix-neuf futurs colistiers. (Photo Émilie drouinaud) 
Ils sont prêts : la liste au complet, les grandes lignes du programme aussi et déjà, ils sont à pied d’œuvre pour rencontrer les administrés. Les 19 hommes et femmes de la future liste « Ensemble construisons Brax de demain » pour les municipales de 2014 planchent sur ce rendez-vous électoral depuis plus d’un an. Pour mener la liste, Joël Ponsolle, 45 ans, Braxois depuis quatorze ans, directeur général adjoint de la Communauté d’agglomération du Grand Villeneuvois. À ses côtés, deux élus braxois, Jean-François Cruguet et Erwan Anger, et des hommes et femmes (à parité) de tout âge - la plus jeune a 21 ans -, de tout horizon qui considèrent que leur commune est « à la traîne, quelque peu en inertie ».
C’est le basculement de Brax et plus largement de la Communauté de communes des Coteaux de Laplume-en-Bruilhois dans la « grande » famille de l’Agglomération d’Agen (AA) qui a définitivement convaincu ces 19 Braxois de se lancer dans la course aux municipales. « On ne va pas revenir en arrière, l’intégration dans l’Agglomération d’Agen a eu lieu. Nous aurions souhaité que la réflexion soit plus poussée, notamment sur les enjeux des territoires ruraux qui se retrouvent intégrés à une agglo… urbaine », lâche Joël Ponsolle.
Gouvernance collective
Et c’est bien sur ce champ de réflexion que sa liste veut se positionner. « Et notamment, en réfléchissant sur la zone économique de Sainte-Colombe-en-Bruilhois et la gare LGV prévues en rive gauche par l’Agglo. A-t-on réellement besoin d’une zone économique de plus de 150 hectares ? Comment va-t-elle être financée ? Que va-t-elle apporter à Brax et aux communes voisines ? Notre commune ne va-t-elle pas devenir une commune dortoir ? Est-on aujourd’hui en capacité de proposer les services à la hauteur de cet afflux de population ? »
Ces questions-là, la liste menée par Joël Ponsolle entend bien les poser et ce afin que « Brax reprenne en main son destin ». Ensuite, sur un plan purement municipal, la liste entend apporter une gouvernance différente : « Nous sommes 19 à travailler sur le projet. Si nous sommes élus, nous aurons tous la même implication, autrement dit pas question de laisser le maire et ses quelques adjoints décider seuls… »
Le blog de la liste : https://ponsolle-brax2014.blog4ever.com
le sud-ouest - 07/06/2013
Publié le 07/06/2013 à 06h00
Joël Ponsolle présente sa liste pour les municipales
L’équipe autour de Joël Ponsolle. (Photo sylviane goudenhooft)
Mercredi, Joël Ponsolle, tête de liste pour les élections municipales de 2014, a présenté ses coéquipiers, les premiers axes choisis par l’équipe et son slogan : « Ensemble construisons Brax de demain. »
« Cela fait maintenant plus d’un an que nous travaillons pour donner à Brax un projet à la hauteur de son potentiel », explique le leader, installé à Brax depuis quatorze ans avec sa compagne et ses deux filles. Directeur adjoint de la Communauté d’agglomération de Villeneuve-sur-Lot, il est né dans le canton de Laplume-en-Bruilhois (Roquefort) et a passé son enfance à Brax.
La parité
L’équipe est constituée de dix hommes et neuf femmes, dont la benjamine est une étudiante de 20 ans. Dix-neuf Braxois issus de catégories sociales et professionnelles très diversifiées, motivés et prêts à travailler pour leur commune : « C’est un travail d’équipe ! » Une équipe représentative de la commune dont le maître mot est la diversité « d’opinions politiques variées, de la gauche à la droite », précise Joël Ponsolle.
Le projet pour Brax est à l’étude depuis plusieurs mois : démocratie, écoute, partage ont été les mots les plus utilisés lors des ateliers destinés à sa préparation. L’équipe est désireuse de jouer un rôle central dans le développement « partagé et équilibré » de l’agglomération agenaise.
Elle insiste également sur une gouvernance participative tournée vers l’intérêt général, une volonté d’informer et de consulter la population en ouvrant la mairie aux Braxois, par exemple, en heures d’accueil adaptées.
Le chef de file explique qu’il bénéficie de vingt-cinq ans d’expérience professionnelle dans les collectivités territoriales, de quarante-cinq ans dans le canton et qu’avec son équipe, il maîtrise la connaissance des réseaux publics et régionaux, la méthodologie de projet, la connaissance de Brax et de son environnement.
la dépêche du midi - 07/06/2013
Brax. Municipales 2014 : une liste déjà en lice
Publié le 07/06/2013 à 03:47, Mis à jour le 07/06/2013 à 08:15
Brax. Municipales 2014 : une liste déjà en lice
«Cela fait maintenant plus d’un an que nous travaillons pour donner à Brax un projet à la hauteur de son potentiel», précise Joël Ponsolle qui sera à la tête d’une liste aux prochaines municipales. Ce dernier âgé de 45 ans, père de deux enfants, est directeur adjoint de la communauté des communes du Grand Villeneuvois. Mercredi, il dévoilait la liste «Construisons Brax de demain». Parmi les engagements de l’équipe issue de la société civile, actifs et retraités, et représentant toutes les tranches d’âges, ayant des convictions politiques diverses, les membres de cette liste souhaitent «associer un maximum de Braxois autour d’actions qui permettront à la commune d’aborder les années futures en toute confiance et sérénité».
Projet collectif
La liste «s’engage à favoriser la dynamique économique locale, aménager et sécuriser le village, aider les personnes les plus fragiles dans leur vie quotidienne, favoriser le bien vivre à Brax et assurer l’attractivité du village, communiquer, informer, accueillir». Pour cela a été mis en place «un projet collectif» construit en équipe depuis plusieurs mois : les mots importants qui reflètent le plus la méthode de travail utilisée sont démocratie, écoute et partage. «Notre vision, dit Joël Ponsolle, est celle de Brax tournée vers l’avenir tout en veillant à conserver précieusement l’idée de village. L’envie de jouer un rôle central dans le développement partagé et équilibré de l’agglomération agenaise : complémentarité et équilibre entre le monde rural/périurbain et urbain. Une gouvernance participative tournée vers l’intérêt général. Une connaissance de la gestion des collectivités territoriales, et donc d’une commune, avec un chef de file et une équipe maîtrisant : la méthodologie du projet, la connaissance des réseaux publics locaux et régionaux, la connaissance de la gestion administrative et financière d’une collectivité territoriale, la connaissance de Brax et de son environnement». La tête de liste se présente avec 20 ans d’activité professionnelle dans les collectivités territoriales, 14 ans de vie personnelle à Brax et 45 ans sur le canton.